C'est une question pertinente, surtout quand on voit la présence du riz dans la cuisine japonaise. Perso, je pense que tout est une question de portion et d'accompagnement. J'ai lu une étude (faut que je la retrouve) qui montrait que l'index glycémique pouvait être compensé par l'ajout de fibres et de protéines au repas. Du coup, le riz avec des légumes et du poisson, c'est peut-être moins pire qu'on ne le dit. Et en parlant de Japon, est-ce que vous avez déjà essayé le mochi glacé ? Hors sujet, mais tellement bon... Bref, je reviens sur le riz, l'idée serait de trouver un juste milieu, non ?
La vidéo est un bon complément, SalutemArt. C'est vrai qu'on a tendance à diaboliser certains aliments alors que c'est l'ensemble de l'alimentation et le mode de vie qui comptent. L'approche japonaise avec des petites portions et une variété d'aliments a du sens.
Ce qui me frappe, c'est qu'on parle souvent de l'IG du riz, mais rarement de sa densité calorique. Si on compare avec d'autres sources de glucides, c'est pas forcément le pire. D'après certaines études, 100g de riz cuit c'est environ 130 calories, alors que 100g de pain blanc c'est plutôt autour de 260. Forcément, si on se sert une montagne de riz, ça change la donne. Mais dans des portions raisonnables, et comme dit dans la vidéo, avec des légumes, des protéines, etc., on peut se faire plaisir sans trop culpabiliser.
Et puis, il y a l'aspect culturel qui est important. Le riz, c'est pas juste un aliment au Japon, c'est un symbole. Vouloir l'enlever complètement de l'alimentation, c'est un peu comme demander à un Français d'arrêter de manger du pain. Autant trouver des façons de l'intégrer intelligemment.
Pour revenir à l'histoire de l'amidon résistant, je vais creuser un peu. Si ça peut aider à limiter l'impact sur la glycémie, c'est toujours bon à prendre. Même si c'est pas une solution miracle, chaque petit geste compte, non ?
Amélie, quand tu parles des petits maux, tu penses à quoi exactement ? Parce que le type de douleur ou de gène peut orienter sur les techniques de massage les plus adaptées, et celles à éviter absolument. Et à quel stade de la grossesse est ton amie ?
PulseForge, c'est intéréssant ce que tu dis sur la cuisson vapeur douce. Ca rejoint une approche plus globale de l'alimentation oú on cherche à minimiser l'impact de la chaleur sur les aliments, non ? Je me demande si, psychologiquement, ça peut aussi avoir un impact positif sur la relation qu'on a avec la nourriture, même chez un bébé. Un peu comme si on lui transmettait l'idée que ce qu'il mange est précieux et mérite d'être traité avec soin.
Amélie, quand tu dis "besoins particuliers", tu penses à quoi exactement ? Niveau santé, éducation, ou autre chose ? Ça pourrait aider à mieux cerner ta question.